« Le dérèglement climatique et les futures zones invivables »
à cause de la
« La chaleur humide »
C’est quoi ?
C’est la conjugaison de la chaleur avec un taux d’humidité élevée.
Le principe : les températures augmentant font accroître le taux d’humidité dans l’air, comme le fait de chauffer de l’eau qui progressivement s’évapore.
Aujourd’hui, L’Homme et les animaux peuvent supporter la chaleur sèche dans des milieux que je qualifierais d’extrême, zones arides, désert, … et plus difficilement dans des régions tropicales où l’humidité y est plus élevée.
Notre résistance se situerait autour des 35° mesurée au niveau de la peau avec un air saturé en humidité. Température relevée avec le bulbe du thermomètre recouvert d'une mèche imprégnée d'eau.
L’être Humain et les animaux nécessitent une sudation pour réguler leur température corporelle.
L'organisme ne pouvant supporter la chaleur conjuguée à ce taux d’humidité trop élevé la régulation sera IMPOSSIBLE et, à défaut d'un refroidissement dans les heures qui suivent, les organes vitaux défaillent en chaîne.
Jusqu’à peu les conditions climatiques de ce genre n’étaient pas visibles mais depuis quelques temps des phénomènes se rapprochant se manifestent.
En Australie, à Darwin entre septembre et décembre la chaleur humide approche les 32-34° vers 15h et ce presque tous les jours.
Pays, régions exposés : La chine, l'inde, l’Amérique latine, l'ouest de l'Afrique ...
Des zones entières devront être délocalisées. Des gens commencent déjà à fuir le nord de l'Australie.
Comment ça se manifeste ? :
De la même manière que des courants d’air chaud sur une carte météo. Nous voyons le trajet que doit emprunter ce « fléau »
Comment vivre avec ? :
Seul un « scaphandre » ou un milieu clos régulé en température peut faire barrière.
Certains ont certainement déjà vu des films de science-fiction avec des « villes » entièrement sous « cloche », « serre », hermétiques … voilà à quoi pourrait ressembler les villes de demain.
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Déjà en Juin 2015, un article paru dans le THE NEW YORK TIMES
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Robert Kopp est directeur associé du Rutgers Energy Institute. Matthew Huber est professeur de sciences de la Terre à l'Université du New Hampshire, où Jonathan Buzan est titulaire d'un doctorat
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Un cas ayant eu lieu au Japon début septembre 2019 - 2 morts
"Faute de courant et donc de climatiseur, les températures de plus de 35 degrés conjuguées à un taux d'humidité dans l'air de quelque 80% ont entraîné mardi le décès d'une femme de 93 ans et d'un homme de 65 ans à leurs domiciles respectifs, a indiqué par téléphone une fonctionnaire de la préfecture de Chiba, dans la banlieue nord-est de Tokyo.
Au moins 48 autres personnes ont été hospitalisées pour des affections liées à la chaleur mardi, a ajouté cette responsable."
"Allez dans des refuges équipés de climatiseurs et hydratez-vous" LIEN